- CÔTÉ SCÈNE-
Fredéric BOUGOUIN
Electric-Concert
Musique acoustique ou électrique, programme éclectique,
aux accents traditionnels, d'Irlande mais aussi d'Inde, d'Amérique Latine,
quand le chant venu de Cuba s'en mêle.
Quelques reprises, mais surtout des compositions originales, qui soufflent l'air chaud du désert,
qui descendent des cascades en Finlande ou refont le chemin d'une vieille italienne chère
à Dario Fo.Des thèmes qui toujours cèdent la place à l'improvisation.
Quelques surprises,
des chansons qui s'invitent,
des univers a priori bien loin de
la harpe celtique,
et pourtant...
Le Matériel
Pour ce concert FRED.B utilise une harpe celtique électrique cordes nylons et une harpe électroacoustique cordes métalliques ; ça, c'est pour les mains.
Aux pieds, des pédales permettent de transformer le son, de donner des effets inattendus, et de s'enregistrer en direct pour multiplier les couches sonores, comme dans un groupe.
FRED.B. joue sur harpes CAMAC
La presse en a parlé
" La harpe accompagnait la voix et la parole mythique du texte gaélique s’élevait pure, hallucinée, dans l’air tiède et odorant des jardins du Jubilé. [...] La voix a jailli, ailée, pressée, comme trop longtemps contenue et désireuse d’enfler son chant pour rapporter les anciens faits et gestes des héros de la vieille Irlande, dans un envol de mains qui parlent, qui suivent et soulignent le flot toujours renouvelé des images du texte. [...] Un contrepoint de mélodies simples, évidentes, lumineuses, souvent plaintives... Délicieuse soirée, vraiment. Moment de contemplation et de ressourcement, sous le charme d’une vieille parole assise sur la seule puissance d’un verbe porté par quelques notes, si lointaine et étrangement
proche, douce à nos cœurs. "
Sud Ouest
à propos de " Belles d'Ouest "
" Ah, les conteurs ! Et François Godard n’est pas des moindres [...]. Et c’est tant mieux puisqu’il nous offre de rêver la terre, le ciel et les hommes [...] qui foulent des pays imaginaires pleins de promesses d’émerveillement dont, à l’entendre, on se demande s’il ne les a pas vraiment fréquentés, et si, à force d’y
croire, on n’y serait pas déjà, tant ils deviennent palpables. Frédéric Bougouin n’est pas en reste, qui, de sa cristalline et aérienne harpe, porte l’émotion à son paroxysme où il s’emploie, pour notre plaisir, à la prolonger, caresse les mots et nous bouleverse enfin. Merci à tous deux pour ce moment délicat de poésie musicale qui nous fait nous ravir, avec gêne parfois, de ce que l’enfant qui sommeille en nous n’est pas déjà mort. "
Écouter Voir
à propos de " Mélodimaginaire "
" Derrière un masque de vieille femme, des yeux incroyablement expressifs et la très forte personnalité d’une mamma italienne en lutte contre le fascisme. C’est Hélène Richard, une jeune comédienne époustouflante, qui a prêté son corps et sa voix à cette mère de tous les résistants [...] "
La Nouvelle République
à propos de " Mamma Togni "
" Les multiple facettes de la harpe celtique ont ravi Dinan pendant six jours du mois de juillet pour les 23e Rencontres Internationales. [...] Il y a eu [...] Fred Bougouin, Poitevin solaire, le techno chaleureux et efficace. "
Armor Magazine
à propos de " Soliloque "
" Tout le monde est captivé par l'ambiance, tantôt douche, tantôt déchaînée, capricieuse, comme cette mer, comme cette vie de marin, si spéciale, mais que l'on aime tant même si elle fait souffrir, voire mourir [...] "
La Nouvelle République
à propos de " Ceux qui sont en mer "